dimanche 28 mars 2010

Le petit chaperon rouge... façon Final Fantasy

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano - Détail

Voici une interprétation du petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano, version urbaine dans laquelle la forêt est remplacée par une ville et la petite maison par un immeuble. Ces images proviennent de Märchen, un recueil d’illustration d'Amano dans lequel il revisite plusieurs contes, le petit chaperon rouge comme ici, mais également Cendrillon ou encore la Belle au Bois dormant.

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

Le petit chaperon rouge par Yoshitaka Amano

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mercredi 24 mars 2010

Les contes de fées finissent toujours mal...

Blanche Neige
Blanche Neige


Cendrillon
Cendrillon


La Belle au bois dormant
La Belle au bois dormant


La Belle et la Bête
La Belle et la Bête


Le petit Chaperon rouge
Le petit Chaperon rouge

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lundi 22 mars 2010

Une histoire de savoir-vivre


Image par Blueju MisterClic - Flickr

Internet et les réseaux sociaux ont de merveilleux qu'ils permettent de faire sauter certaines barrières dans les relations sociales. Ainsi, on tutoie spontanément un blogueur et on se retrouve à papoter via Twitter avec des types du Vatican (si, si), des responsables politiques, l'emblématique Chabal... ou encore des bibliothécaires...!

Mais...

Mais il y a des limites à ne pas franchir. Les règles élémentaires des relations sociales s'appliquent également aux blogs. J'attends des échanges que je peux avoir via les blogs de la courtoisie, du respect, du savoir-vivre. Et certaines choses ne peuvent pas être dites. Au même titre que l'on ne dit pas, en entrant dans une boutique « Salut ma puce ! J'adore ce que tu fais dans ta boutique ! Bisous », certaines choses ne se disent pas non plus sur les blogs.

En ce qui me concerne, je n'accepte pas certaines familiarités. Alors on peut se tutoyer sans souci, on peut discuter, on peut plaisanter... mais dans le respect de certains codes. La plaisanterie doit être identifiable, par exemple.

Dan, vous l'aurez compris, ce petit billet est largement inspiré par vos commentaires sur ce blog. Je ne vous connais pas, je ne sais pas d'où vous arrivez mais vous me mettez largement mal à l'aise avec vos commentaires remplis de sous-entendus. Je n'accepte pas que vous m'appeliez "Mon petit chat". Et pour le coup, je n'accepte même pas que vous me tutoyiez. C'est comme ça. C'est certainement du délit de sale gueule, mais c'est comme ça.

Vous aurez très certainement remarqué que je n'ai pas publié votre dernier commentaire, parce qu'associé à celui que je m'étais permise de tronquer, il m'a fait sortir de mes gonds. Nous n'avons pas gardé les cochons ensemble... et j'osais espérer que vous garderiez une certaine retenue dans vos propos suite à "l'incident" du précédent commentaire. Je me suis visiblement trompée.

Vous dites ne pas connaitre le monde des blogs. Vous semblez cependant connaitre très bien le mien, ainsi que deux ou trois autres qui me sont proches. Vous êtes arrivé ici avec un pseudo étrange, vous êtes entré avec vos gros sabots sans prendre la peine de dire bonjour. Vous avez lancé certaines piques qui ont fait penser à plus d'un que vous étiez un autre (comprenne qui pourra). On ne sait rien de vous si ce n'est que vous n'êtes pas franc. La moindre des choses, quand vous laissez des commentaires qui dérangent, c'est de signer de façon à être un minimum reconnaissable, de laisser une adresse mail ou une chose de ce genre pour les éventuels droits de réponse. C'est ce qui se fait chez les internautes courtois, voyez-vous.

Votre attitude et vos remarques sont déplacées. Et je n'ai que faire de votre supposé cynisme ou de votre humour grinçant. Arrêtez donc de vous cacher, jouez franc-jeu, et peut être — je dis bien "peut être" — accepterai-je vos supposées taquineries.

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dimanche 21 mars 2010

Retour des petits poèmes dominicaux

Gustav Klimt - Le baiser
Gustav Klimt - Le Baiser - 1906


La croix pour l'ombre

Les gens heureux n'ont pas d'histoire
C'est du moins ce que l'on prétend
Le blé que l'on jette au blutoir
Les bœufs qu'on mène à l'abattoir
Ne peuvent pas en dire autant
Les gens heureux n'ont pas d'histoire

C'est le bonheur des meurtriers
Que les morts jamais ne dérangent
Il y a fort à parier
Qu'on ne les entend pas crier
Ils dorment en riant aux anges
C'est le bonheur des meurtriers

Amour est bonheur d'autre sorte
Il tremble l'hiver et l'été
Toujours la main dans une porte
Le cœur comme une feuille morte
Et les lèvres ensanglantées
Amour est bonheur d'autre sorte

Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saison
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison

Ah c'est toujours toi que l'on blesse
C'est toujours ton miroir brisé
Mon pauvre bonheur ma faiblesse
Toi qu'on insulte et qu'on délaisse
Dans toute chair martyrisée
Ah c'est toujours toi que l'on blesse

La faim la fatigue et le froid
Toutes les misères du monde
C'est par mon amour que j'y crois
En elle je porte ma croix
Et de leur nuit ma nuit se fonde
La faim la fatigue et le froid

Louis Aragon, le Fou d'Elsa, 1963

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lundi 15 mars 2010

De l'art de trouver ce que je ne cherche pas

Ricochets - Sérendipité

La sérendipité, ou art de trouver ce que l'on ne cherche pas, est un concept super à la mode en ce moment. Et comme je n'échappe pas à la mode cybernétique, j'y vais moi aussi de mon petit billet sur le sujet...

Ce concept vient d’un néologisme anglais la “serendipity”, un mot inventé en 1754 par le philosophe anglais Sir Horatio WALPOLE, pour qualifier la faculté qu’ont certains de trouver la bonne information par hasard, un peu sans la chercher.
[source : www.mediassociaux.com]

En clair, tu cliques, tu cliques, tu cliques... Résultat, tu te retrouves sur un truc que tu ne cherchais absolument pas, et même que tu vivais super bien avant de le connaitre. Et tout à coup, ce truc que tu ne cherchais pas te parait tellement essentiel que t'en viens à te demander comment tu as fait pour vivre sans ça... Ce qui ne fait que renforcer ta sale addiction à Internet...!

Bref, tout ça pour vous dire qu'à force de cliquer, je suis tombée sur CE FANTASTIQUE BLOG... mais comment ai-je survécu sans lui ?! Et preuve que le monde de la blogobulle est riquiqui : je me suis rendue compte que la Mère Castor, qui vient de temps en temps sur Le chemin des aiguilles, en est membre...

Il n'y a pas de petite joie...


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vendredi 12 mars 2010

Ton sur ton

Puisqu'il semble que moi aussi... Râaaaaaa ça fait du bien...!



Un peu colère, PetitChap...


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mercredi 10 mars 2010

Vilain pirate VS Honnête consommateur

... parce que c'est une belle vérité,
... parce que je n'ai pas trop le temps en ce moment,
... et parce que ça m'a surtout beaucoup amusée !

(Et hop, un petit clic sur l'image !)



[Source : PCImpact - Version anglaise]


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dimanche 7 mars 2010

Quand Internet provoque l'incompréhension


Il y a quelques jours, j'étais en service public avec deux autres collègues. Il n'y a que deux ordinateurs professionnels. L'activité était plutôt calme, seuls quelques usagers trainaient dans les rayons. La collègue qui n'était pas devant un ordi me regarde avec des yeux-mitraillettes et me lance, visiblement très agacée :

« Moi aussi je voudrais bien pouvoir jouer sur Google comme toi pour m'occuper ! »

Je dois être un brin susceptible parce que j'ai eu l'envie subite de lui arracher ses deux yeux à l'aide d'une petite cuillère. Je me suis contenté de lui répondre que je ne jouais pas, que je faisais simplement le boulot pour lequel on me verse un salaire à la fin du mois.

Alors comment faire comprendre aux collègues que mon boulot est d'être connectée sur Internet quasiment toute la journée ? Comment leur expliquer qu'un travail de veille, même lorsqu'il passe quasi uniquement par la toile, reste un vrai boulot ? Je me balade effectivement sur tout un tas de blogs, de sites, sur Twitter (même si je suis muette)... et je ne nie pas que je prends mon pied à faire ça... mais ça fait parti de mon boulot.

Voilà donc le problème : Internet s'est largement démocratisé, ce qui est incontestablement une bonne chose. Mais il reste méconnu... il garde cette image de passe-temps, de vecteur de powerpoint, de vidéos de chutes et autres âneries. Les blogs ont encore une image de journaux intimes d'adolescents boutonneux... J'exagère, évidemment, mais pas tant que ça. Et je me trouve régulièrement confrontée à l'incompréhension de mes collègues qui, quand ils passent à proximité de mon bureau, me voient pianoter sur mon clavier sans qu'il en sorte de résultat "palpable"... « Ben j'sais pas trop ce qu'elle fout, PetitChap, mais elle a l'air de bien s'amuser devant son ordi, en tout cas... » La plupart du temps, je ne me formalise pas de ce genre de réaction. Je dois même avouer qu'il m'arrive d'en jouer. Mais en ce moment, allez savoir pourquoi, ça me chatouille méchamment les nerfs.

Voilà voilà... J'avais juste envie de bougonner un peu. Mais pas de crainte, ça va passer.


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mardi 2 mars 2010

They're back...

Lost - Saison 6

Aaaargh...! Me voilà replongée dans la série Lost... Et cette année, c'est la bonne : c'est la toute dernière saison, celle qui devrait apporter les réponses à toutes nos questions... ou pas. Je me suis enfilé les cinq premiers épisodes hier... impossible de m'arrêter.

Pour ceux que ça intéresse, et en essayant de ne rien dévoiler, je peux vous dire qu'on en apprend un peu plus sur John Locke, sur Jacob... sur la fumée noire, aussi... Et puis on a des nouvelles de Claire... Mais on n'a pas encore toutes les réponses, loin de là. Moi, ce qui m'intrigue, c'est pourquoi Richard ne vieillit pas... Et puis d'abord, qui est ce Richard ? Pourquoi il est là ? Quel est son rôle ? Il y a aussi les "petits problèmes" spacio-temporels... et puis on se demande de plus en plus pourquoi les "Losties" se sont retrouvés là... Quel est leur rôle dans l'histoire de l'île ? Parce qu'il ne fait aucun doute qu'ils ne sont pas là par hasard... Et puis, et puis, et puis... et puis plein de choses encore... parce que vous vous doutez bien que de nouvelles questions ont déjà fait leur apparition... aaaarrgh !!

En fait, je ne comprends plus grand chose à tout ça. Je les suis, et j'essaie de ne plus trop réfléchir. On ne s'étonne plus vraiment de rien, un peu comme les pauvres protagonistes... Il y a eu les Autres, puis il y a eu de nouveaux Autres, puis il y a de nouveaux nouveaux Autres... Et tous ces gens sont toujours assez vindicatifs, et même qu'on ne comprend pas trop pourquoi. Et puis les chiffres, toujours les chiffres... le 108, par exemple... il revient tout le temps, celui-là. Et les gamins, pourquoi n'y en a-t-il pas (ou plus) ? C'est stupide d'être addict à une série comme ça... Ce n'est vraiment pas rationnel, mais que voulez-vous... On fait comme on peut.

M'enfin, en attendant d'avoir d'autres épisodes de cette dernière saison, je vais me refaire toute la saison dernière ! Et puis j'irai parler de tout ça chez la Tavernière... Et puis il faudra évoquer le cas de Sawyer, aussi... rhâaaaaaaaa, Sawyer... (*bave*)


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